Galerie

Dans cette série, je m’interroge sur notre rapport à être ensembles.

Je m’inspire des grandes agglomérations urbaines qui sont des endroits pleins de vie, d’animation.

J’ai transcrit dans ces tableaux, du rythme, de la vitesse et de l’harmonie.

Les lignes dans le tableau se fracturent en suggérant un mouvement dans l’espace et dans le temps.

J’aime donner de la complexité et de la profondeur à la surface avec des couleurs fortes.

En même temps, l’eau avec sa fluidité, ses reflets et sa tension, est aussi une métaphore de la liberté.

L’idée de peindre l’eau me fascine toujours...

Profondément émue par le sort des femmes sans-abri, j’ai été inspirée par ce que ma fille a vécu pendant les 8 premières années de sa vie dans la rue avant d’arriver dans ma famille.

La pauvreté condamne de nombreux enfants à une vie d’obstacles qui se perpétue souvent de génération en génération.

Ls filles en particulier sont une force de changement et leur éducation peut briser ce cycle.

J’essaie « de briser le cycle » dans la peinture et dans la vie, avec cette envie de transformer les choses tristes et grises pour redonner couleurs et espoir, même à celles qui vivent dans l’extrême pauvreté

Les arbres représentent plus qu’un paysage, l’arbre est une métaphore du cycle de la vie.

Depuis la nuit des temps ils font parties de  la tradition et du folklore.

Mon enfance a été imprégnée par cette union avec la nature et tout particulièrement les arbres qui me rassurent, m’apaisent et m’inspirent.

J’emploie l’abstraction et je suis intéressé par le rythme et la profondeur.

Symbole de l’éphémère, je fige la fleur dans sa beauté.

J’utilise une multitude de couches, peinture, résine, ce qui donne une grande profondeur.